Paroles
Vous trouverez ici toutes les paroles de l'album de Nolwenn.
Cassé:
(Lionel Florence / Francis Maggiulli)
Je ne t'ai pas vu partir
Ni entendu la porte claquer,
C'est un peu facile à dire,
Après quelques années,
Je ne t'ai pas vu partir,
Ton manteau est resté dans l'entrée,
Depuis que je t'ai vu sourire
En me rendant les clés,
Et après m'avoir dis en face,
Mes quatre ou cinq vérités,
L'amour ça passe ou ça casse,
Mais comme c'est déjà,
Cassé, cassé
Ca Passera
Avec le temps
ou quelqu'un d'autre
Cassé, cassé
Ca passera
Ca prend du temps
Pour être une autre
Je laisse la place
A qui voudra
Je ne t'ai pas vu venir
Reprendre ton manteau démodé
Peut être comme les souvenirs
Qu'il était à jeter
Après me prendre e pleine face,
Encore une autre vérité,
L'amour ça passes ou ça lasse,
Mais puisque c'est déjà
Cassé, cassé
Ca passera
Avec le temps
Ou quelqu'un d'autre
Cassé, cassé
Ca passera
Ca prend du temps
Pour être une autre
Je laisse la place
A qui voudra
Cassé, cassé
Ca passera
Avec le temps
Ou quelqu'un d'autre
Cassé, cassé
Etre une femme :
(Marie Jo-Zarb / David Gategno)
Il y a des vie pleines de sourires
Pas de couronne juste un avenir
Fait de sentiments, de rires d'enfants
Et de gestes touchants
Il y en a d'autres qui font souffrir
Où l'on interdit le désir
D'aimer simplement, il faut tout le temps
Se cacher d'être vivante
Etre une femme sur la terre
Qu'on soit reine, qu'on soit mère
Ou bien pieds nus sans prières
On est toujours
On est toujours solitaire
On est toujours solitaire
Le manque d'amour nous rend fragile
On marche souvent sur le même fil
Qu'est-ce qui nous attend, au fil du temps
Quand s'effacent tout nos printemps
On est ce qu'on vie, là-bas ici
Et la même chose nous unit
Etre une femme sur la terre
Qu'on soit reine, qu'on soit mère
Ou pieds nus sans prières
On est toujours, on est toujours solitaire
Etre une femme sur le terre
C'est l'amour ou l'enfer
C'est semer sans savoir
Le début d'une histoire
Le début d'une histoire
Suivre une étoile :
(Elisabeth Anais / Laurent Voulzy)
Suivre une étoile
Et se laisser porter au gré du vent
Lever les voiles
Sur les dériveurs, les vieux gréemments
Et se remplir de l'air du temps
Dans nos courses solitaires
Passagers perdus aux desseins différents...
Inventeurs, commis-voyageurs
On avance sans rien savoir
Amoureuses ou marins-pêcheurs
On va tous vers la même histoire...
Suivre une étoile
Me livrer pour elle à toutes les batailles
Lever les voiles
Contre le ciel, me sentir de taille
Et faire tomber les citadelles
Tous mes remparts vrtuels
Quoi qui l'en soit
Chercher ma route de la Soie
Sur le chemin de Brocéliande
Sur les traces de Perceval
Je voudrais trouver ma légende
M'attacher à un idéal
Malgré la peur
Je veux garder pour mon coeur
Le meilleur...le meilleur...
L'amour dans l'âme
A travers ce monde, je sens
Que quelqu'un m'attend...
Et rencontrer sur cette terre
Un peu d'amour solidaire
Quoi qu'il en soit
Chercher la route jusqu'à toi...
Suivre une étoile
Là-haut, là-haut, courir au gré du vent
Lever les voiles
Et hisser haut sur les vieux gréements
Suivre une étoile
Là-haut, là-haut, courir au gré du vent
Lever les voiles
Et hisser haut sur les vieux gréements
Inévitablement :
(Lara Fabian / Matthew HersKowitz)
Là, je tourne en rond
Je passe mon temps
A chercher pourquoi ou comment
J'ai fait pour ne pas voir avant
Qu'il suffit de vivre au présent
Le passé est un viel amant, le futur un doux prétendant
Mais rien n'est suffisant
Là, je fais ma dernière overdose
Promis, je passe à autre chose
Je fais la paix à ce faux moi
L'égo dont il est, je ne suis pas
Je subis la métarmophose
De l'inévitable névrose
Soudain je me dépose
Immuable est le temps
Semblable à ce chant
Dans un coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que la vie se prend
Inévitablement
Là, je ne tourne plus
Je parle comme si
Les mots n'étaient plus un défi
Mais l'indicible un vrai récit
N'en déplaise à Descartes aussi
Entre les mots et leur silence
Je trouve le véritable sens
Je suis, donc je pense
Immuable est le temps,
Semblable à ce chant
Dans un coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, maintenant
Que la vie se prend
Inévitablement
Là, je fais ma dernière overdose
Promis, je passe à autre chose
Soudain je me dépose
Immuable est le temps
Semblable à ce chant
Dans un coeur d'enfant
Qui s'en défend
Insondable et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que le vie se prend
Inévitablement
Semblable à ce vent
Tout est dans le moment présent
Dispensé du temps
Dont on dépend
Minuscule et pourtant
C'est dans l'ici, le maintenant
Que rien ne fais plus mal
Rien ne nous fait plus mal
Rien ne nous fait plus mal
Inévitablement
Jure-moi :
(Marie Jo-Zarb / David Gategno)
Il faut décider de sa chance
A défaut de ça naissance
Et pleurer en silence
Le manque et l'absence
Quand j'oublie mon enfance
J'en perds toutes mes croyances
Parce qu'à force d'évidence
La vie n'a plus de sens
Jure-moi
Jure-moi tout ça
Et même si tu n'y crois pas
Même en croisant les doigts
Jure-moi
Jure-moi les mots qui font qu'on avance
Quand mon âme ce fait violence
Jure-moi
N'importe quoi
J'ai tant vécu pour les flammes
Que je mourrais pour tes larmes
Tant pis si tu condamnes
Les fêlures de mon âme
Jure-moi
Jure-moi tout ça
Et même si tu n'y crois pas
Même en croisant les doigts
Jure-moi
Jure-moi
Les mots qui font qu'on avance
Quand mon âme se fait violence
Jure-moi
Jure-moi
Jure-moi tout ça
Même si tu n'y consens pas
Même en touchant du bois
Jure-moi
Jure-moi
Le ciel dans toutes ces urgences
Quand ma vie se fait violence
Jure-moi
N'importe quoi
x3
Vu d'en haut :
(Pénélope Marcelin / Laurent Marimbert)
Qu'on vienne en fanfre
Qu'on arrive à pas de loup
On est toujours sur le départ
Mais on sait qu'on ira jusqu'au bout
On passe ça vie
A demander qui on est
A se chercher quelques envies
A tout laisser partir en fumée
On peut si on ose
Rêver d'autre chose
Vu d'en haut
Il n'y a que de l'air et de l'eau
Il n'y a ni chaînes ni barreaux
Vu d'en haut
Vu d'en haut
Une vie sans frontière et sans drapeaux
Je ne vois que la lumière de quelques flambaux
Vu d'en haut
On vient de nulle part
Pour se rendre n'importe où
On ne laisse rien au hasard
Quoiqu'on fasse on ira jusqu'au bout
On passe sa vie
A se battre pour du vent
A vouloir gagner à tout prix
On se perd en route le plus souvent
On peut si on ose
Vouloir autre chose
Vu d'en haut
Il n'y que de l'air et de l'eau
Il n'y a ni chaînes ni barreaux
Vu d'en haut
Vu d'en haut
Une vie sans frontières et sans drapeaux
Je ne vois que la lumière de queqlques flambaux
Vu d'en haut
On peut si on ose
Rêver d'autre chose
Vu d'en haut
Il n'y a que de l'air et de l'eau
Je ne vois que la lumière de quelques flambeaux
Vu d'en haut
Qu'on vienne en fanfare
Qu'on arrive à pas de loup
On est toujours sur le départ
Mais on sait qu'on ira jusqu'au bout
Ce qu'il nous faudrait :
(Elodie Hesme / David Gategno)
De l'amour en flacon
En cadeau tout les ans
Et du monde au balcon
Pour se fondre dedans
Du bonheur vaporeux
Qui nous suivrait partout
Eclatant et moelleux
Pour s'endormir dessous
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour une vie plus belle, des souhaits
Des souhaits, à rêver doucement
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus doux
De l'amour sans délai
A bercer patiemment
Des lendemains plus beaux
Pour un destin plus grand
Du silence, au compte gouttes
Qui nous rendrait humain
Des questions et des doutes
Pour se tendre la main
Des rêves en ribambelles
Pour se sentir vivant
Et des rires à la pelle
Pour se blottir dedans
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour une vie plus belle, des souhaits
Des souhaits, à rêver doucement
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus doux
De l'amour sans délai
A bercer patiemment
Des lendemains plus beaux
Pour un destin plus grand
C'est tout ce qu'il nous faudrait
Pour des matins plus clairs
De l'amour sans délai
A faire en chuchotant
Une étoile aussi chaude que notre monde est grand
C'est tout ce qu'il nous faudriat
pour ne plus avoir froid
Aimer comme on respire
Aimer infiniment
c'est tout cce qu'il nous faudrait
Pour desserer les poings
S'enivrer de bonheur jusqu'à épuisement
Des lendemains plus beaux pourun destin plus grand
Une femme cachée :
(Christine Lidon / Daniel Lavoie)
Il y a dans mon coeur
Une femme qui attend
Le bon moment et l'heure
Pour offrir ses présents
Il y a des mes yeux
Bien assez de tourments
De courage et d'aveux
Pour dire ce que je pense
Une femme cachée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa voix
Et que tu sois là...
Et lorsque je me tais
Je fais dire au silence
Ce que je veux crier
Avec ou sans violence
Il y a dans mon coeur
Une femme qui danse
Heureuse du bonheur
De sortir de l'enfance
Une femme cahée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa vois
Et que tu sois là pour lui tendre les bras
Une femme cachée à l'intérieur de moi
Une femme cachée prête à tous les combats
Voudrait qu'à son réveil tu entendes sa voix
Et que tu sois là pour lui tendre les bras
Finir contre toi :
(Elodie Hesme / David Gategno)
Je ne dirais jamais
Où mes désirs m'emportent
Combien me coeur me hait
Quand je ferme ta porte
Et que tu frôle sans cesse
Sans vraiment le sentir
Qui souffre de l'ivresse
Des mots à ne pas dire
Je ne te dirais jamais
où mes dédirs m'enlèvent
Combien mon corps me hait
Quand je détruit ses r^ves
Lui qui sent la chaleur
Ds tes regards cachés
Qui s'embrasse de chque heure
Passée à tes côtés
Si tu savais
Contre quoi je me bats
Ce parfum que tu laisses
Chaque fois
Le combat
Que je mène pour ne pas
Finir contre toi (ter)
Les pièces sont des alcôves
Quand mon souffle m'enlace
Il faut que je me sauve
Du désir qui me casse
Et mon coeur me maudit
Il tangue comme un radeau
Enivré, démoli
Par cette pasion de trop
Si tu savais
Contre quoi je me bats
Ce parfum que tu laisses
Chaque fois
Le combat
Que je mène pour ne pas
Finir contre toi (ter)
Je ne te dirais jamais (bis)
Si tu sacais contre quoi
Je me bats
le combat que je mène pour ne pas
Finir contre toi (x3)
Je ne te dirais jamais
Où mes dédires m'emportent
Je ne te diarsi jamais (x2)
Rayer l'émotion inutile :
(Hocine Hallaf - Lionel Florence / Hocine Hallaf)
Laisser la clé
Sous la porte
De la chambre immobile
Et refermer le piano
Quitté, quitté
Sans nouvelles
Notre amour sur le fil
N'a pas eu le dernier mot
J'ai la vie qui baisse
Sous mes bras qui blessent
Aller, aller
N'importe où
Mais le corps impossible
Pour changer l'ancienne adresse
Oublier tout ce qui reste
Rayer l'émotion inutile
Quand notre coeur est trop fragile
Effacer toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer les mentions inutiles
Au rouge à lèvre, au noir des cils
Souligner seulement la liesse
Pour qu'enfin elle apparaisse
Touchée, touchée
Je m'emporte
Vers d'étranges presqu'îles
Je sors ma pelle de l'eau
Lever, lever
Tout le voile
Sans penchant je m'incline
Autant baisser le rideau
Maintenant qu'on s'efface
Que le temps menace
Passé, passé
Tout l'emoi et les jours difficiles
Les souvenirs on les chasses
Quand on a perdu sa place
Rayer l'émotion inutile
Quand notre coeur est trop fragile
Efface toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer l'émotion inutile
Rayer l'émotion inutile
Quand notre coeur est trop fragile
Effacer toutes les caresses
Dans un dernier geste
Rayer l'émotion inutile
Au rouge à lèvres, au noir des cils
Souligner seulement la liesse
Pour qu'enfin elle apparaisse
Passé, passé
Passé, passé
Passé, passé...
14 février :
(Lionel Florence / David Gategno)
Il y des jours
Des jours où les dieux vous oublient,
Où certains souvenirs vous pèsent
Des jours qu'ils ne faudraient pas vivre,
Ou mettre en parenthèses,
Juste un jour,
Que j'ai rayé
Pour toujours
14 février
Il ya des jours
Des jours qui sont des ennemis
Pire que des vendredis 13
Des jours qui passent au ralenti
Sans que les pendules se taisent
Juste un jour
Du calandrier
Juste un jour
14 février
Quand on sait le temps,
Quand on sait le mal
Que ça demande - pour oublier
Qand on sait le vide
Quand on vit ce manque
En attendant - de ne plus aimer
De ne plus aimer
Il y a des nuits
Qu'on ne voudrait pas voir venir,
Vous mettent au bord d'une falaise
Des nuits trop blanches pour d'enfuir
Parce qu'elles nous rendent mal à l'aise
Comme ce jour
Du sablier
Juste un jour
14 février
Quand on sait le temps
Quand on dait le mal
Que ça demande - pour oublier
Quand on sait le vide
Quand on sait ce manque
En attendant - de ne plus aimer
Quand on sait le temps
Quand on sait le mal
Que ça demande - pour oublier
Quand on sait le vide
Quand on vit ce manque
En attendant - de ne plus aimer
Qui mieux que moi :
(Philippe Begain / Laurent Marimbert)
Il y a des des heures qui s'étirent en longueur
Comme des pleurs éperdus
Et il y en qu'on ne retient pas
Qui déjà ont disparru
Puis il ya celles qui sont intemporelles
Qui échouent hors du temps
dans ce moment de secondes éternelles
C'est là où tu comprends
Qui mieux que moi
Saura t'aimer
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Saura de tes faux-pas te pardonner
Qui mieux que moi ne demandera rien
Effacera ses désirs pour les tiens
Qui mieux que moi sra bête à ce point
Pour mieux t'aimer
Dans quel pays sous quels cieux infinis
Tes rêveries vagabondes
Pour le trésor que tu convoites encore
Nul besoin d'un tour du monde
Si être un ange c'est quelques fois étrange
J'irais où tu voudras
Même si parfois j'aimerais que cela change
Je l'avoue, j'aime ça
Qui meux que moi
Saura t'aimer
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Qui mieux que moi
Saura de tes faux-pas te pardonner
Qui mieux que moi ne demandera rien
Effacera ses désirs pour les tiens
Qui mieux que moi sera bête à ce point
Pour mieux t'aimer